Les mots croisés de Jean Rossat ont un je-ne-sais-quoi qui vous fait y revenir, comme à une bonne tablette de chocolat. Ils étaient 18 adultes l’autre soir à goûter les délices du mot-qui-vous-échappe-mais-va-bientôt-revenir, et au trouble du temps qui passe et vous rapproche de la fin fatidique du quart d’heure règlementaire. Mais le tournoi était sans autre enjeu que celui d’une bonne soirée à passer ensemble, et de ce point de vue, la réussite était complète.